[RP]Embuscade sur la route de Limoges...

(Merci de laisser ce sujet libre pour les personnes participant effectivement à ce RP.)

(ok je lance ceci se soir!)

Ca y est, il etait là où on lui avait dit, à l'heure à laquelle il devait y etre. Le soleil etait deja presque couché et plutôt que de rester au milieu de la route il decida de monter dans un arbre et s'adossa à son tronc.

Il jura avoir vu un etre arrive peu avant lui, il n'y preta attention qu'un instant, il n'etait pas seul il le sentait mais prefera rester immobile.

Silencieux, ecoutant les bruits du vent qui siffait à ses oreilles, il attendit de voir ... la suite des evenements.

Il allait enfin pouvoir prouver sa loyauté envers le maitre, on aurait presque pu voir apparaitre un sourire sur son visage difforme si celui-ci n'etait pas recouvert par son epaisse capuche noire

*et maintenant, attendons*

Tiamat referma le pli reçu et le glissa dans une poche à l’intérieur de sa cape.
Le masque avait finalement décidé de le « tester »

*Une mission facile sans grand danger, apparemment…*

Il scella son cheval et prit la route de tulle.
Quelques lieues avant l’endroit du rendez vous il s’arrêta a l’orée d’un bosquet et descendit de cheval, lui caressa l’encolure et lui murmura quelques mots a l’oreille

"Je vais faire les quelques mètres qu’il me reste a pied mon vieil ami, rentre a la maison je trouverais un moyen de revenir"

Sur ces paroles, il lui mis un grand coup sur l’arrière train et le cheval s’élança dans la direction d’où il était venu

*J’espère juste que ce canasson ne va pas se perdre en chemin*

Tiamat s’écarta de quelques mètres de la route et remonta celle-ci jusqu'à son point de rendez vous

Le croisement pour tulle était à quelques mètres.
Tiamat devait y retrouver deux autres personnes que le masque lui avait sommairement décrit dans sa lettre et dont il ne connaissait que les pseudonymes.
Le soleil maintenant rasait la campagne et la luminosité diminuait grandement.
Il vit bouger une ombre qui escaladait un arbre; en plein contre jour, il n’en distingua pas plus

*Prudence mon ami il n’est pas écrit que tu doives mourir aujourd’hui, mais le destin est si capricieux*

Il mit sa main dans sa poche et toucha les deux pièces qui s’y trouvaient

*Elles ne sont pas pour moi… quelqu’un…bientôt… en aura besoin pour le passeur*

Tiamat s’avança vers l’arbre où il avait cru apercevoir une ombre…

Greggory revenait de Limoges, sur la route vers Bourganeuf. Il était accompagné de l'armée de la Baronnie de Magnac-Laval (ses gardes-du-corps) : le vétéran Sergent Alfred et trois jeunes hommes sans expérience du nom de Tom, Jon et Éric. Tous étaient à cheval, au trot. Greggory chevauchait en tête, Alfred suivait et les autres derrière parlaient de leurs conquêtes d'un soir et de leurs beuveries. Le Baron Greggory était las, il avait hâte d'être de retour chez lui. Il remarqua quelque chose sur le sol...quelque chose de poilu. Un loup! Levant la main, il intima l'arrêt à ses hommes et descendit de son destrier.

Sergent Alfred: "Qui y a-t-il mon seigneur?"
Greggory: "Je crois qu'on a trouvé notre souper!"

L'officier examina le corps du loup. Il semblait avoir été parcouru de spasmes avant d'avoir succombé. Il ne portait par de marques de blessures, avait les yeux révulsés et avait bavé un peu partout.

Sergent Alfred: "La rage... Mon seigneur nous ne pouvons le manger! Il est décédé par la rage.."
Greggory: "Ah..."

Le laissant tomber, il remonta sur son cheval et continua sa route. La nuit était sombre. Les arbres jetaient d'étranges ombres. Il crut entendre des mouvements dans les bois. Il crut voir une ombre se déplacer. La main sur le manche de sa hache il sécria de sa grosse voix.

Montrez vous, et aucun mal ne vous sera fait, à vous comme à vos laquais !

Numero II avait observé les quatres membres de l'organisation rejoindre le point de rendez-vous. Il était accompagné de deux mercenaires germains grands comme des montagnes.

Il sortit des fourrés et leur fit signe :

" Bien le bonjour... numero II ... Le Masque m'a envoyé. Ceci est un grand jour pour l'organisation, soyez a la hauteur. Ne perdons pas de temps, l'embuscade ne prendra point place ici. Ulrich et Gunthar vont vous accompagner vers un autre point de rendez-vous. Il me faut récuperer d'autres compères sur le chemin, je vous rejoindrai plus tard."

Sur ces mots, Numero II regarda les six hommes s'éloigner et fit semblant de partir dans une autre direction. Un beau jour pour mourrir se dit-il, du sang noble allait recouvrir ses lames.... Il sourit....

Il retourna à son point d'observation pour tre sur que personne ne les suivaient. Il leur fallait être prudent, ces batards d'espions pulullaient. Il les haïssait tellement.... puis repensa a XIV... non en fait, ils étaient source de distraction......

Les deux mercenaires ouvraient la route. Ils suivaient une sente à moitié visible à travers la forêt. Enfin ils débouchèrent sur une route. Là, une silhouette encapuchonnée les attendait. Une femme... Elle pointa une direction du doigt.

"Suivez cette route dans cette direction. Et hâtez-vous !"

Une fois son message délivré, elle disparut dans l'ombre des fourrées, et les regarda s'éloigner. Ne restait plus qu'à attendre, pour voir s'ils n'avaient pas été suivis...

Tiamat n’avait pas n’eu le temps de héler l’homme qui se trouvait perché dans l’arbre, et qui, à la couleur gris argenté de ses cheveux ne pouvait être que le dénommé « lorenzo », quand quelque chose, ou quelqu’un sorti d’un buisson sur sa gauche.

Ce mouvement inattendu lui fit porter la main au pommeau ouvragé de son épée courte, mais a la vue du masque qu ornait son visage Tiamat reconnu tout de suite celui que l’on nommait Numero II, mais dont seul les fous osaient prononcer le nom a haute voix.

Il était accompagné de deux rudes gaillards, les palabres étant inutiles, le petit groupe d’hommes suivit un sentier dans la forêt voisine, puis après une deuxième rencontre, changèrent a nouveau de direction

*ils sont vraiment sur les dents, cette mission ne doit pas être si anodine que cela pour prendre autant de précautions…*

L'oscurité étant de plus en plus présente, mais les deux gaillards qui ouvrait le chemin, savaient exactement où aller.
Tiamat ralentit légèrement l’allure pour être en queue de colonne, ne distinguant que des ombres, il ignorait qui était devant lui, mais la présence de son glaive à son flanc le rassurait quelque peu, il tenta d’écouter les bruits alentours, mais ne distingua rien d’anormal a ces yeux…

Le petit groupe apperçut enfin numéro II sortir de la forêt et rejoindre la route.

*Qu’est ce que tout cela augure…*

Il restait en retrait, il avait déja une petite idée de ce qui allait se passer. le fait que ce soit Numéro II qui venait à leur rencontre et non le masque en personne confirmait que cette attaque n'était qu'une banale opération de routine destinée à tester les capacités des nouvelles recrues.


*ces mercenaires ne me disent rien qui vaille, mieux vaut être sur ces gardes.*

Il suivi donc la troupe sur la sente qui serpentait au milieu de la forêt. l'air était doux en ce début de soirée. mais une odeur persistante de sang trainait.
il avait bien affuté ses flèches avant de partir, et son arbalète était tendue, prète a décocher ses carreaux. l'individu qu'ils attendaient allait le sentir passer.

il attendit que numero II eu finit son discours puis il sauta tranquillement de sa branche avec cependant un certain panache dans sa maniere de faire.

Il s'approcha des deux "armoires" qu'etaient les denomés Ulrich et Gunthar en adressant cependant un regard aux autres hommes qui etaient arrivés, le regard d'un homme etrange, un regard qui ne parraissait pas humain mais plutôt celui d'une envellope sans ames ou emotions.

Il tenta de dicerner le visage de la femme qui leurs avaient indiqué le chemin mais la sombre clarté du soir l'en avait empeché.

Gardant son visage à l'abris des regards par une capuche et ses mains cachées sous sa cape il se mit au milieu du groupe, juste derriere les allemands et devant les autres bandits qu'il accompagnait repensant à cette phrase sans arret :

* si le destin le veut... si le destin le veut... *

Alfred et les soldats regardèrent autour d'eux...rien

Sergent Alfred: "Mon seigneur... Il n'y a rien...vous devez êtes fatigué, hâtons nous!"
Greggory: "Bah! Vous devez avoir raison! Allons-y!"

Greggory continua de se méfier. Il était presque sûr d'avoir vu quelqu'un! Peut être avait il un peu trop forcé sur la boisson? Rassuré il continua sa route...sans se méfier du danger qui le guettait...

Ils arrivaient. Ses hommes avaient été disposés par Numéro II de chaque côté de la route, Numéro II, Spaotwan et deux mercenaires d'un côté, Invisible, Lorenzo et Tiamat, eux mêmes accompagnés par deux mercenaires, de l'autre. Lui même était resté en retrait, dissimulé à la vue de tous par la végétation. Il siffla.

Le claquement sec des arbalètes lâchant leurs traits de mort lui répondit. Les tireurs visaient les chevaux, respectant en cela les instructions. Il voulait récupérer Sieur Greggory, baron de son état, vivant, pour en négocier un bon prix.

Le résultat fut satisfaisant. Les traits touchèrent leurs cibles précipitant les cavaliers au sol. Ils auraient l'avantage de la première charge et du nombre. Tout devrait se passer comme prévu...

(Pour la suite du RP, et pour pas se mélanger les pinceaux, je vous propose l'ordre d'intervention suivant : Numéro II, puis Spaotwan, Lorenzo, Invisible et Tiamat (dans n'importe quel ordre), et enfin Greggory. Vous pouvez un peu faire durer les combats si vous voulez, en recommançant une série d'intervention. )

Numero II lui avait confié une arbalète et lui avait dit de se poster de l'autre coté de la route ainsi que 4 autres hommes.
Tiamat se cacha derriere un buisson d'aubépine, mis un genoux à terre et planta son épée courte devant lui pour pouvoir réagir plus vite espérant pouvoir encocher un nouveau trait dans son arbalète une fois le premier trait tiré.

A sa gauche se tenait celui que numéro II avait nommé invisible il n'avait aucune idée d'où étaient les autres.

En face numéro II était resté avec trois autres hommes.

Un bruit de sabot rompit le silence ambiant, 5 cavaliers venait de faire leur apparition

*Visez d'abord les chevaux qu'ils ne puissent se dérober à nous, avait dit le Masque*

Tiamat attendit patiement que les hommes arrive à sa hauteur, celui du milieu attira son attention, il l'avait dejà vu quelque part mais où? Sa main luisait bizarement sous la lune...

Un trait partit de nulle part... un cheval poussa un hennisement de douleur et se cabra envoyant son cavalier au sol.

Tiamat n'attendit pas plus longtemps et visa le cheval du nobliau.

Le trait fendit les airs et se ficha profondément dans les flancs de l'animal, lui aussi se cabra et roula au sol, le nobliau avait du faire quelque exercices physiques étant jeune car il sauta hors de sa selle avant que le cheval ne touche le sol.

*Bon il est temps de recharger cette foutue arme avant qu'il ne te repère mon garçon*

Numero II décocha son carreau d'arbalète dans le flanc du cheval. Il n'aimait pas blesser les animaux, mais il le fallait.
L'embuscade etait un succès et avait pris le convoi par suprise. Tous les hommes étaient a terre, désarconnés. Il agrippa ses deux épées courtes et surgit des fourrés se dirigeant vers le garde du corps le plus proche qui était au sol et avait le dos tourné tout en hurlant:

" A L'ATTAQUE..."

Il lui agrippa son heaume, le releva suffisamment pour passer sa lame, et lui mumura:

" Ta mort sera douce, tu as de la chance" et il l'égorgea d'un trait sec. Il le laissa convulsant dans la mare de son propre sang.

Les quatres mercenaires, germains qu'ils étaient, voulaient la prime supplémentaire pour la capture de Gregorry. Et ils se lancèrent en ordre dispersé à l'attaque du noble hurlant leur cri de guerre.

Tiamat rechargeait frénétiquement son arbalète

*rhaaa mais c’est quoi ce fichu matériel teuton…*

Il n’eut pas le temps de maudire beaucoup plus ses « alliés » germanique, qu’un des hommes de la colonne le chargea avec un cri rauque, l’épée brandie au dessus de la tête

*aie… repéré, espérons que je n’ai rien oublié de mes techniques apprise auprès de mon instructeur..*

L’homme fut heureusement ralenti par l’aubépine comme tiamat l’avais espéré.
Mais même ainsi tiamat fut forcé de rouler sur lui-même pour éviter le tranchant de l’épée de cet homme, bien plus entraîné qu’il ne le laissait paraître, se faisant il attrapa son glaive planté au sol et s’écorcha le visage sur les épines acérées du buisson sensé le protéger
Un filet de sang coula de sa joue…

*le premier sang n’est pas pour toi petit homme insignifiant, et le deuxième seras pour moi*

Tiamat se ramassa sur lui-même et bondit avec un rictus qu’on ne lui connaissait pas, si seulement l’homme en face de lui avait pu voir a travers l’étoffe de tissu noir qui recouvrait la partie inférieure de son visage

L’homme face à lui afficha un drôle de rictus, son bras retomba mollement le long de son corps et lâcha son épée, il tomba a genoux et ecrasa son visage sur le sol, un poignard dépassant d’entre se deux omoplates

Tiamat vit une ombre se tenir derrière le cadavre, un de ses « alliés » avait lâchement frappé de dos et lui avait volé son combat

« Toi, touche encore une fois à ma proie et tu subiras mon courroux, je t’enverrais rejoindre le passeur plus vite que tu ne le crois »

Il lui lança un regard empli de haine.
Il reporta son attention aux combat qui se déroulait au milieu de la route et s’elança dans la mélée…

*bien... maintenant qu'ils ont fait le debut je vais m'attaquer au second petit qui est là bas*

hahahin

Il arma son arbablete, il la calla contre son épaule et visa le second mercenaire, d'un coup le trait partis et alla se ficher dans le l'epaule droite de l'homme visiblement surpris.

Le mercenaire ennemi s'approcha hurlant de fureur, apparement l'armure qu'il portait avait arreté en parti le coup, il se rapprochait et était de plus en plus menaçant.

Au dernier moment Lorenzo lâcha son arbalète, sauta contre le mercenaire en essayant de rester le plus bas possible, sa main gauche frappa dans la fleche qui cette fois ci finit de transpercer l'armure et tranversa l'epaule de l'homme, malheureusement l'épée elle etait toujours en action et lui frappa ce meme bras.

Il poussa un cris de douleur et sortit une petite dague dont il planta la lame dans le dos du soldat.

Mais malheureusement il se retrouva en position de faiblesse et alla se refugier dans les arbres

Sa ce déroulait mal. Le tout en quelques instants, leurs chevaux avaient été tués puis des hommes avaient bondi des fourrés et avaient frappé. Tom était tombé le premier, égorgé, Éric reçu deux carreaux d'arbalètre et Jon se fit poignarder.

Greggory se releva tant bien que mal. Une embuscade! Sans plus attendre il sortit Découpeboîtecrânienne, sa lourde hache. Il se retourna et vit un gros germain à l'air niais une massue cloutée dans les mains... Ils se regardèrent puis Greggory sans crier gare lui donna un puissant coup de hache. La lame trancha la peau, la chair, les cartilages et les os! une tête roula sur le sol...Une fontaine de sang jailli du cou tranché et Greggory fut aspergé de sang, une sensation...grisante...

Sergent Alfred en bon vétéran s'était relevé rapidement. D'un coup d'estoc de son épée il avait transpercé la gorge d'un teuton bâti comme un boeuf. Celui-ci agonisant dans un ultime effort, blessa Alfred à la cuisse. La lame mordit la chair mais ne causa guère qu'une coupure. Alfred recula, puis finalement le mercenaire mourru.

Greggory se retourna in extremis pour parrer le coup d'une hache germaine. Levant le lourd manche de chêne de sa hache... la lame ennemie traversa le bois coupant la hache en deux!

"Foutu germains!!"

Tout en reculant il sortit son épée. Il mit le bras le long de son corps et attendit. Le stupide mercenaire avança. Greggory fit un gros pas en avant et avec le bras bien détendu le toucha au pied. Le barbare piailla de douleur et Greggory en profita pour attaquer sauvagement. Il lui ouvrit le ventre, la gorge et le poignet. Le germain s'effondra comme une masse, mort.

Sergent Alfred voyait ses amis et troupes tomber autour de lui comme des mouches. Puis il vit son Baron entouré, en mauvaise posture... Le bouclier levé il accouru, percutant de plein fouet Tiamat et esquivant chanceusement un carreau d'arbalètre mortel. Puis la lame souillé de sang il se mit dos à dos avec le Baron. Greggory les regarda et vit que l'un d'eux était masqué...Le Masque... ils travaillaient pour Le Masque!

"Alors foutus bouffons de bas-étage vous voulez mourir aujourd'hui ou demain? Si vous voulez pas avoir d'ennui je vous demande de fuir...

MAINTENANT

Nous vous laissons une dernière chance !"

En position défensive dos à dos avec Sergent Alfred il regarda les hommes en cercle autour de lui, impassible.

"Et ils se battent avec des arbalètres?
Ah les chiffes-molles!"

Tout se passait relativement bien. Les mercenaires germains s'étaient jetés stupidement à l'assaut et en avait payé le prix. D'un côté cela l'arrangeait, il n'aurait pas à les payer. Quand à ses hommes, ils s'en sortaient sans trop de blessures, et certains avaient fait preuve d'intéressantes qualités guerrières.

Le moment était venu, Gregorry et son dernier homme était acculés et encerclés. Ils n'avaient aucune chance de s'en sortir vivants... aucune. Il sortit des fourrés dans lesquels il était dissimulé, l'épée au poing. Ce bravard osait leur demander de fuir... quelle ironie au vu de la situation...

"Rends toi Baron. Il ne sert à rien de t'entêter, tu ne peux pas nous échapper. Nous te voulons vivant, pour obtenir rançon en échange de ta carcasse. A un Ecu la livre, cela nous rapportera beaucoup."

Il sourit en y pensant. Il était en effet bien gras.

Sourit puis prend un air de prédateur.

"Alors c'est toi le Masque? Tu m'as plus l'air d'un clown! Une rançon? Personne ne payera pour ma veille carcasse.
Bon je réitère mon offre. Prenez la fuite maintenant ou vous en payerez le prix...héhé!"