[RP]Devenir membre...

Il en avait souvent entendu parler... de cet homme, insaisissable... semant troubles et désordres partout où il passait...
Le Masque...
Il frissona de plaisir en pensant a ce nom que déja tant de personnes prononcaient avec effroi...

*Je vais te rejoindre... et danserais a tes cotés... pour mon plaisir...*

Après diverses enquêtes toutes aussi discrètes les unes que les autres, il était arrivé a trouver un moyen de le contacter... un pigeon lui avait été confié... lui permettant de pouvoir prétendre a une place dans cette organisation...

Faisant tourner une dague entre ses longs doigts, il regarda son messager s'envoler, sa candidature attachée a une patte... et il sourit...puis murmura...

Danse Macabre... c'est ainsi que l'on me nomme... tu pourras bientot profiter de mes nombreux pas... Le Masque... et je te garantis que le spectacle sera délectable...

Rammenant sa cape autour de lui, il tourna gracieusement sur lui même, s'inclina et sans se départir de son sourire, s'en alla...

*Inferno frissonait, elle allait enfin peut être pouvoir rencontrer le Masque, on disait qu'il venait du Limousin, qu'il avait fait éxecuter un noble de la bas, que ses rangs grossissaient de jour en jour...Un autre frisson la parcourut despieds à la tete, d'impatience et de désir melé, enfin peut être elle pourrait mettre son talent à profit, dessiner, les cadavres grotesques des morts qui croiseraient sa route, ou encore dessinaient sur leurs corps avec leurs propres sang....un rire s'eleva de sa gorge et elle caressa d'une main le corbeau qui se trouvait sur son poing en prenant bien garde à ne pas le blesser avec les gants si particulier qu'elles s'étaient procurés. ces gants étaient d'argent et s'adaptaient à ses mains comme de seconde peau, à une exception pres, il se prolongeait aux bouts des doigts en de longues griffes de métal poli*

Là Dante, calme toi, bientot tu lui porteras notre message, oui ne t'inquiètes pas....et veuille à ne pas perdre le masque de peau

*Eclate d'un rire dément, adressant une dernière caresse à son corbeau avec le dos d'une griffe avant de le laisser s'envoler vers un destination inconnue....*

Vaala errait depuis quelques jours à la recherche du mystérieux Masque. Il le cherchait lui, pas un de ses serviteurs. Il ne craignait rien, car pour l'instant, il n'avait entendu que des histoires sur cet individu. Mais, il avait réussit à rencontrer des personnes pouvant l'aider à le contacter.

Il était serein, car il savait que l'organisation le surveillait mais ne lui ferait aucun mal ; enfin, pour le moment... Mais il voyait ces "yeux" le scruter au fil des ruelles.

Partez, serviteur du Mystérieux, car vous ne m'intéressez point...

Il sortit de son long manteau une lettre, lettre qu'il posa dans un coin d'une ruelle très étroite ; mais il savait qu'elle ne resterait pas longtemps à cet endroit, car dessus, était écrit : Le Masque.

Avant de quitter les lieux, il déposa ce dessin à côté de la missive

Cela faisait maintenant trois jours qu'il errait dans cette ville. Il LE cherchait, il avait ouïe dire de sa grandeur. Par contre, depuis son arrivé, il y avait sans cesse cette sensation qu'on le suivait.

Il faisait noir à présent et ces lueurs, ressemblant à des yeux, réflétaient la lumière des torches de la rue sombre. Cela l'excitait, la sensation qu'il était épié et qu'il ne pouvait rien y faire lui procurait une joie, un désir qu'il ne put se décrire. Fëanaro était sur la bonne voie, il le savait, le ressentait. Son extase étant devenue si grande, il ressentit le besoin de tuer. Seul l'odeur du sang, de la peur, de la douleur aurait pu le relaxer. Ces nerds étaient tendus, il n'en pouvait plus. Il devait trouver cet homme avant qu'il ne craque.


Ce masque, je dois le trouver, je dois le voir...

Mais trop tard, il vit une jeune femme, à deux ou trois coins de rue de là. Nul ne sait ce qu'elle pouvait bien faire à cette heure, mais Fëanaro s'en contrefichait, il ne voulais que jouer avec elle. Étant seul, elle semblait pouvoir être un très gentil jouet. Il courut vers elle de son pas légé. Sa cape noir flottant derrière lui à certains moments.

Malgré ses précautions, elle semblait avoir ressentit le bruit de ses bottes fouettant le sol. Elle commenca à courir, sans doute pris au dépourvut, ne sachant plus trop en quel direction elle allait, Fëanaro s'en délectait d'avance et il accéléra le pas.

*Rit* Je trouve cela amusant, voir relaxant de me dégourdir les jambes. J'espère que ton corps...si frêle soit-il... me procurera encore plus de plaisirs...

Il réussit à la rattraper au bout de quelques ruelles. Elle ne pouvait pas aller bien loin avec se terrible corset qui l'emprisonnait. Il l'agrippa de dos, déposant une main fébrile sur sa bouche et lui enfoncant sa dague dans les côtes.

Maintenant, il n'avait plus qu'à attendre les effets de celui-ci tout en lui sussurant de belles paroles à l'oreille. Lorsqu'il vit que la Belladone semblait commencer ses effets, il déposa sa proie au sol puis s'accroupit en face d'elle. Ballanca la tête de gauche à droite, scrutant, observant chacun des plies de sont visage, crispé par la peur. Un sourire s'afficha sur le visage de Fëanaro.

Le rythme cardiaque de la jeune femme semblait de plus en plus rapide et l'on pouvait ressentir qu'elle désirait pleurer mais qu'elle ne le pouvait pas, n'en n'étant point capable. La paralysie musculaire semblant se faire sentir, surtout lorsqu'il vit une coulé d'urine se faufiler sur le sol sous ses pieds. Fëanaro était fasciné, son sourire s'aggrandissait sur son visage au fur et à mesure qu'il voyait cette femme dépérir. Les nerds de celui-ci se relâchèrent peu à peu. La tranquilité d'esprit semblait peu à peu lui revenir

"Va-t-elle mourir par le poison? ou par son manque de sang? Enfin, je n'aurai pas la chance de le savoir..."

S'approchant de la femme, il lui lècha le revers de la main

Toi ma belle, je t'aime bien. Je me suis bien amusé avec toi, mais maintenant je dois partir....je suis quelque peu pressé...

Souriant à la jeune femme, il se releva, toujours en la fixant, il continuait à se délecter de ce jeu.

Il repartit à ses pensées, pariant en lui-même de la manière avec laquelle elle mourra. La laissant seul, paralysé, mourrante mais encore consciente de son malheur...

Cela faisait quelques jours qu'il errait dans les rues de la Ville sans savoir réellement ce qu'il était devenu . Saine et franche aversion pour ce qui l'entourait .



Mais qui ? et quand ca avait commencé ?
Qui etait ce type qui une nuit l'avait attrapé en lui chuchotant "Ne crains rien ?"

Et ou etait il ?




Et le Masque , c'etait donc parfaitement logique .

il devait se realiser et non contrarier ses instincts .
Ca , ca devait etre l'homme qui lui avait dit .

Masssque . Massque .
Ouiiiiii ....